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 [Culture] La Langue de Pandore

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Freyla
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MessageSujet: [Culture] La Langue de Pandore   [Culture] La Langue de Pandore EmptyVen 4 Nov - 17:19

La langue parlée sur Pandore est, à l'inhumanité, le Pandorien. Ce langage qui porte le même nom que les habitants de Pandore (Pandorien et Pandorienne) est inévitablement similaire au français réel. Mais si le Pandorien est effectivement la langue la plus parlée de tout Pandore, il n'en demeure pas moins des exceptions, et tout n'a pas été ainsi dans la lointaine et longue histoire du monde.

Les Origines de la langue Pandorienne/Le langage d'Itza

L'oral

Les premiers mots et écrits datent de plus de 5.000 ans avant la naissance de la Divinité et sont attribués à la Cité Première d'Itza. Composés principalement de hiéroglyphes et de dessins simplifiés, le dialecte d'Itza était une véritable forme expérimentale du langage. Composé principalement de sons successifs (kh (l'autorité), ss (la discrétion), ock (la violence)) et d’onomatopées (flip (l'eau), clic (le métal), bur (la mort)), il était essentiellement utilisés par les gens de la moyenne et haute classe. Les personnes plus pauvres pouvaient toute fois communiquaient par le biais de tablettes et de parchemins et apprendre à parler convenablement en écoutant ceux aptes à maîtriser la langue. Nous avons ainsi pût voir une forme d'universalisation du langage plus ou moins maîtrisés à travers la culture pré-itzienne. Cette universalisation fût d'autant plus vraie quand les armées de la Cité Première dominèrent le monde et que ce langage fut imposés auprès des peuples soumis à l'autorité de l'empereur.

Une phrase se composait ainsi essentiellement de cette enchaînement qui paraîtrait aujourd'hui maladroit et disgracieux de "bruits" pour aller directement au but du message. Il n'y avait pas de tournure de phrase ni de syntaxe, mais la pratique voulait toujours que la phrase avait pour sujet la source hiérarchique la plus haute à parler (un parent, un gradé, un prêtre) et pour cible la personne directement inférieure dans la hiérarchie. Ce sujet occupait également systématiquement la première place et se désignait par le son "kh" (comme vus plus haut). En cas d'égalité, un double "kh" en début de phrase s'imposait. L'empereur et sa femme disposaient quant à eux du son "di" pour se désigner et n'utilisaient donc le "kh" que pour insister sur leur toute puissance. Les mots suivants servaient uniquement à transmettre un message net et précis.

On marquait toujours une pause d'environs deux secondes pour annoncer la fin d'une phrase, et parler pendant cette pause était un affront. On ne pouvait répondre que lorsque l'interlocuteur donnait son accord par le geste de la paume ouverte vers le ciel, signifiant littéralement "je te donne la voix". Une fois encore, l'empereur et sa femme étaient exceptions car il était tout simplement interdit de leur répondre de quelque manière que ce soit. En effet, ce geste de donnait la voix revenait à dire que l'on donnait sa faculté de parler à un autre, et il était de tradition de pensait que donnait sa voix à un autre pouvait résultait à une forme de mutisme si elle n'était pas rendue ! Bien évidemment (et assez paradoxalement) cette idée disparaissait quand quelqu'un entamait la conversation.

L'écrit

Si le langage parlé n'était pas monnaie courante pour tous, l'écrit lui, était universel et appris de tous. Chaque sons de la langue parlée avait un équivalent en hiéroglyphe ou dessin et pouvait donc être gravé dans la pierre ou l'argile. Mais une fois encore, l'autorité et la hiérarchie se faisaient ressentir, car le support de l'écrit était d'une importance capitale. Ainsi, les textes des membres les plus bas de la hiérarchie (généralement les enfants et les esclaves) étaient transmis sur des feuilles d'arbres et n'avaient pour ainsi dire aucune valeur. Jusqu'au sommet de la hiérarchie, les matières pouvaient variées de l'argile au marbre (la pierre était réservées pour les textes religieux et avait donc un statut à part), tandis que l'empereur et sa femme marquaient leurs mots dans le diamant ! On ignore encore par quel moyen technologique ou magique cette prouesse pouvait être réalisés, mais les recherches ont prouvés que cette pratiques était suffisamment répandue pour que plusieurs centaines de ces tablettes soit en circulation à l'époque.

Comme pour le parlé, il n'y avait aucune tournure de phrase ni syntaxe, et le sujet disparaissait car remplacé par le support. Aujourd'hui encore, tous les écrits de cette époque sont traduits à l'approximatif car aucun linguistes ni spécialistes de la langue de Pandore ne peut prétendre comprendre aisément les textes de cette civilisation. Il en est toute fois ressorties certaines affirmations :

Les hiéroglyphes sont distincts des dessins. En effet, ces derniers sont beaucoup moins élaborés et travaillés que les premiers, on suppose donc qu'ils servent à indiquer/représenter/souligner quelque chose de moindre importance.
Deux dessins sont l'équivalent en largeur d'un hiéroglyphes. Mais ce n'était évidemment pas le cas pour leurs significations.
Une phrase écrite ne fait jamais plus de sept hiéroglyphes de long. Cela formait une ligne, et une tablette était composée de quatre lignes maximum, une plaque de dix.
On différencie la tablette de la plaque. On ne sait pas encore pourquoi cela, mais on pense que la plaque était utilisée pour les écrits plus officiels et importants, comme les textes de lois ou les déclarations de l'empereur.
Chaque castes disposaient de son hiéroglyphe propre, même la classe inférieure. Ainsi donc, les dieux disposaient d'un demi-cercle vide au dessus d'un cercle plein ; les riches d'une plume tenue verticalement et rayé trois fois ; l'armée d'un visage effrayant dévorant un huitième de cercle ; les religieux de quatre vagues de trois ondulations entourant un trait plein ; les criminels d'un visage grimaçant regardant vers le bas ; les travailleurs, esclaves et pauvres enfin, par un demi-cercle plein vers le bas surmonté d'une ligne courbe vers le haut.

Un exemple concret et simple de ces connaissances s'illustre par les tablettes en bronze (support des percepteurs) relatant de l'imposition : on retrouvait toujours dans la première ligne le hiéroglyphe du payeur pour garder trace de l'impôt de chaque caste.

Les chiffres

Les chiffres sont nés en même temps que la première monnaie. En réalité, cette dernière ne servait uniquement qu'à donner un support écrit aux premiers. Des galets blancs taillés et marqués du symbole correspondant au chiffre était ainsi l'argent en circulation à l'époque. Le numérique de l'époque était complexe et ne montait pas au-delà de douze (nous ignorons aujourd'hui encore pourquoi, certain théorisent sur une signification religieuse). Les chiffres de 1 à 4 (le zéro n'existait pas) se représentaient par un trait horizontal plein (un trait pour 1, deux pour 2, etc...). Le 5 se transformait en un cercle et de 6 à 9, on rajoutait un trait jusqu'à formait un carré en partant de la gauche pour arriver jusqu'à 9 (par exemple pour le 8, on se retrouvait donc avec un cercle et un trait en dessous, à gauche et enfin au dessus). Le 10 se dessinait par en cercle dans lequel se situait un autre cercle plus petit. Enfin, le 11 et le 12 se symbolisaient par un triangle et deux traits croisés pour le premier et un triangle et quatre traits croisé pour le dernier. Si on dépassait 12, on marquait d'un trait épais cette limite et on recommençait. On exprimait ainsi des chiffres supérieurs en 12 et 8 (pour 20) ou 12 et 12 et 12 et 12 et 12 et 12 et 12 et 4 (pour 100). Cela parait long exprimé ainsi, mais la version condensée de l'époque tenait sur les standards de format d'écriture. Il est a précisé que multiplication et division n'existait pas.

La langue religieuse

Comme mentionné plus haut, la langue, quand attachait à la religion, avait un statut légèrement à part. Pour commencer, le support de la pierre était uniquement réservé à la pratique religieuse, et tout utilisation extérieur pour un écrit se retrouvait sévèrement puni (l'exil ou même la mort). De plus, il n'y avait pas de notion hiérarchique dans la phrase parlé, ce qui faisait des paroles religieuses qu'elles n'étaient ni supérieures ni inférieures aux paroles des autres. Le hiéroglyphe des dieux se situait enfin toujours au sommet de la tablette ou de la plaque pour exprimer la supériorité divine de ces créatures.

Il est nécessaire de noter que nous n'avons aucune trace de l’appellation des dieux de l'époque d'Itza, les noms que nous connaissons datant en réalité de l'époque Wadjienne.

~Post en cours de rédaction~
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